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Équins

Attaques de chevaux et poneys : « Justice sera faite »

Face à la multiplication des cas d’attaques et de mutilations d’équins ces dernières semaines partout en France, le ministre de l’Agriculture s’est rendu le 28 août dans un centre équestre en Saône-et-Loire. Les enquêtes avancent, a confirmé Julien Denormandie.
Attaques de chevaux et poneys : « Justice sera faite »

Entre films d'horreur et rites vaudou, c'est une triste série de « meurtres » ou de « sévices » infligés à des chevaux et poneys qui frappe la Saône-et-Loire (trois cet été), la région Bourgogne Franche-Comté (une dizaine), la France (30 cas au seul mois d'août ; dans dix départements) et même l'étranger de longue date (300 cas en Allemagne ; 160 en Angleterre depuis 40 ans). Gendarmeries et forces de l'ordre sont fortement mobilisées, à la demande des professionnels et des ministères.Pour traduire cette mobilisation exceptionnelle, le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, s'est rendu au centre équestre des Parriauds à Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire) vendredi 28 août. Il était accompagné du nouveau préfet de Saône-et-Loire, Julien Charles et de ses services (DDT, DDSV, etc.), mais surtout entouré de toutes les forces de l'ordre (Gendarmerie, Police, Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires). Ils ne sont pas seuls à « enquêter » : la Fédération des vétérinaires - effectuant les autopsies sur les « scènes de crimes » - et la Fédération française d'équitation sont également prêtes à se porter partie civile...

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