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TERRITOIRE

Accueillir le Tour de France, une occasion en or pour les petites communes

Sur les routes depuis le 1er juillet, le peloton du Tour de France aborde sa dernière semaine de course. Cette année, dix nouvelles villes ont accueilli les coureurs. Un investissement important mais qui assure une exposition sans pareille.
Accueillir le Tour de France, une occasion en or pour les petites communes

Pour la 5e fois en dix ans (hors Monaco en 2009), le Tour de France est parti de l’étranger. Il a traversé cette année l’Allemagne et la Belgique avant de retrouver le sol français à l’arrivée de la troisième étape à Longwy (Meurthe-et-Moselle). C’est après neuf jours de course et une arrivée à Chambéry que les coureurs ont effectué leur premier court passage dans la région Auvergne- Rhône-Alpes, avant de repartir vers l’ouest et descendre dans les Pyrénées. Depuis dimanche, le peloton est de retour après avoir traversé l’Occitanie, avec en ligne de mire les mythiques cols des Alpes. Au programme entre autres, le Télégraphe, La Croix de Fer, le Galibier… et une arrivée inédite au sommet de l’Izoard ce jeudi 20 juillet, avant une étape entre Embrun et Salon de Provence, et un contre-la-montre de 22,5 km à Marseille la veille de l’arrivée. Dix nouvelles villes étapes Si le col de l’Izoard a déjà été emprunté à plusieurs reprises, c’est la première fois qu’il accueille une arrivée d’étape, comme neuf autres villes. Mais être sélectionnée pour recevoir la grande boucle n’est pas chose facile. Chaque année, plus de 200 communes en font la demande,...

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