Don d'organes, du nouveau

A notre mort, nous sommes tous considérés comme de potentiels donneurs d'organes et de tissus. A moins d'avoir auparavant exprimé un refus par écrit. « C'est la raison pour laquelle, lorsque l'on est opposé au prélèvement de tout ou partie de ses organes et tissus après la mort, il est important de s'inscrire sur le registre national des refus pour éviter ainsi à ses proches de vivre une situation douloureuse qui viendrait s'ajouter au deuil », explique l'Agence de la biomédecine. Jusqu'à présent, il fallait pour cela adresser un courrier contenant un formulaire rempli et une copie de pièce d'identité. Une procédure rendue plus simple depuis le 23 janvier avec la possibilité (pour les individus âgés de 13 ans et plus) de l'effectuer depuis un site internet dédié. Comment ça marche ? Trois étapes composent le processus. On commence par indiquer son identité (nom, prénom, adresse, etc.). On peut ensuite choisi d'exprimer un refus partiel ; l'internaute peut effectivement se prononcer sur trois situations : démarche thérapeutique, pour une greffe d'organes et/...
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