« Redoubler de vigilance » vis-à-vis de l’IBR

Pourquoi le GDS de la Loire a-t-il poussé les éleveurs à qualifier leur troupeau pour l’IBR ? Alain Grange : « Je me suis installé en 2001, et j’entends parler de l’IBR depuis 2001… L’IBR est un véritable serpent de mer ! Il y a quelques années, les membres du conseil d’administration avaient décidé de mettre un coût d’accélérateur pour éradiquer l’IBR, voyant la LSA (Loi de santé animale) se profiler et pour réaliser des économies, car l’IBR peut vite coûter cher à l’éleveur et aux partenaires du sanitaire, en particulier le Conseil départemental qui apporte une aide pour les analyses. Un cheptel non indemne IBR peut aussi se voir fermer des portes pour la commercialisation de ses animaux. Les éleveurs ont bien joué le jeu, notamment ces deux dernières années, et les résultats sont significatifs. Ils ont été soutenus techniquement et financièrement pour l’éradication des a...