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Machinisme

Les constructeurs d’agroéquipements veulent être aidés

Les constructeurs d'équipements agricoles s'inquiète de plus en plus des répercussions de la crise en Ukraine. Sedima et Axema mettent en exergue la hausse des prix qui impacte les productions.

Les constructeurs d’agroéquipements veulent être aidés
Sedima et Axema, se déclarent « inquiets de l’escalade des difficultés auxquelles ils doivent faire face » dans une lettre adressée au gouvernement.

Dans une lettre ouverte au gouvernement, les constructeurs d’agroéquipement, Sedima et Axema, se déclarent « inquiets de l’escalade des difficultés auxquelles ils doivent faire face ». Les deux présidents Loïc Morel (Sedima) et Frédéric Martin (Axema) demandent aux autorités françaises et européennes « que leur soit apporté, de façon urgente, tout le soutien nécessaire pour pouvoir faire face aux enjeux alimentaires majeurs encore renforcés par la crise en Ukraine ». Les constructeurs pointent la flambée des prix de l’énergie et de l’acier. « Les tôles en acier départ Europe du Nord se négociaient en janvier 2021 à 680 euros la tonne, puis à 950 euros début janvier 2022, pour atteindre désormais des cours à 1 800 euros la tonne, avec des pointes à 2 200 euros », détaille le communiqué commun. Avec un approvisionnement renchéri et chaotique (« les délais de livraison des machines ag...

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