Réaction
Après l’annonce de Lactalis de réduire sa collecte de 8 % en France d’ici 2030, la Fédération nationale des producteurs de lait affirme ne vouloir laisser aucun éleveur sans débouché.
Après l’annonce de Lactalis de réduire sa collecte de 8 % en France d’ici 2030, la Fédération nationale des producteurs de lait affirme ne vouloir laisser aucun éleveur sans débouché.
Depuis le 4 octobre, une nouvelle carte de la zone régulée vis-à-vis de la MHE (Maladie hémorragique épizootique) est en vigueur. Encore plus de communes ligériennes sont concernées.
Le témoignage des éleveurs qui ont connu un épisode de FCO dans leur troupeau et qui ont vacciné converge : le bénéfice du vaccin est bien supérieur aux pertes et complications engendrées par le virus. Pour eux, la question ne se pose plus…
La perspective d’une baisse de 9 % de la collecte du leader mondial des produits laitiers Lactalis auprès des éleveurs français a suscité une vague d’indignation dans le milieu de l’élevage. La FNPL demande d’urgence des délais pour les producteurs impactés.
La multiplication des cas de MHE ont fait évoluer la zone régulée en fin de semaine dernière, le 26 septembre, grignotant des communes supplémentaires dans la Loire.
Lors des réunions d’informations de la semaine dernière, les questions de la part des éleveurs étaient nombreuses. En voici une sélection, avec la réponse des professionnels (Groupement de défense sanitaire, Direction départementale de la protection des populations, vétérinaires).
De nouveaux cas de Maladie hémorragique épizootique (MHE) ont fait évoluer la zone régulée, qui englobe désormais 69 communes de la Loire, contre 43 début septembre.
À l'occasion d'une conférence de presse, les responsables de la Fédération nationale bovine (FNB) sont revenus sur les cinq sujets majeurs du moment entre sanitaire, prix et accords de libre-échange.
Cette semaine, les éleveurs de la Loire ont pu s’informer sur la Fièvre catarrhale ovine (FCO) lors de l’une des trois réunions organisées par la Chambre d’agriculture, le Groupement de défense sanitaire (GDS) et la Direction départementale de la protection des populations (DDPP). Vaccination, déclaration de suspicion et veille sur ses voisins sont les trois messages à retenir.
Les interprofessions du sucre (Aibs), bétail et viande (Interbev) et volailles (Anvol) ont adressé une lettre ouverte le 11 septembre au Premier ministre, Michel Barnier.